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La voie spirite
22 février 2015

Electroculture

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L'électroculture est un principe de culture, voire d'agriculture dans certains cas, qui vise le développement des plantes, non pas par la fertilisation chimique des sols, mais plutôt par l'harmonisation de leur environnement notamment au niveau énergétique.

L'avènement de l'électromagnétisme a conduit à la découverte des propriétés électrophysiologiques des végétaux. Et l'électroculture est née de l'étude de la relation entre ces propriétés et le biotope végétal, tout du moins son renouveau aux temps modernes car il semblerait qu'elle ait été utilisée depuis longtemps, peut-être depuis l'antiquité, possiblement découverte avec celle des réseaux cosmo-telluriques.

Ainsi, en électroculture, divers moyens conducteurs passifs, principalement des antennes et des solénoïdes, sont disposés aux alentours immédiats des plantes afin de moduler le champ magnétique terrestre les environnant et les ondes électromagnétiques présentes naturellement dans l'atmosphère. Ce principe et les résultats qui y sont associés, vérifiables et concluants, tendent à démontrer qu'il existe bien une transmission, de nature énergétique, entre le biotope et la flore, plus généralement entre notre planète et tous les êtres vivants. Voire plus, car cette technique n'est pas sans nous rappeler celle de l'agriculture bio-dynamique dont les résultats sont aussi positifs et pour laquelle le respect des cycles terrestres mais surtout lunaires sont primordiaux. L'influence énergétique semble donc non seulement planétaire mais encore luni-solaire jusqu'à même cosmique.

Nous pouvons imaginer que cette transmission est en fait un échange entre l'univers et les êtres vivants, plus précisément entre les cellules vivantes et l'énergie universelle.

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9 février 2015

Biophotons

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L'élément commun à tous les organismes biologiques, qu'ils appartiennent au règne animal ou végétal, est la structure d'ADN. Elle contient toutes les informations génétiques nécessaires au développement de tout être vivant, et bien que son organisation interne, son code, soit spécifique à une espèce donnée, sa structure générale en double hélice est identique pour tous. Ses mécanismes de séparation et de duplication sont à l'origine de ceux de multiplication des cellules, donc à la base de toute construction vitale. Elle représente donc la signature de la vie telle que nous la percevons et la concevons.

Et de cette structure émane une lumière. En effet, il est désormais démontré non seulement que toutes les cellules vivantes émettent une onde électromagnétique, mais encore que cette émission provient plus particulièrement de la double hélice elle-même. Il s'agit plus précisément d'une lumière dont la variation de la longueur d'onde correspond  au spectre des rayons ultraviolets et de la lumière visible. Ses couleurs sont vives mais aussi holographiques ce qui démontre qu'elle possède également un niveau élevé de cohérence.

Cette cohérence, qui montre une simultanéité dans l'émission de biophotons, tend à mettre en évidence que les cellules, sur le plan électromagnétique tout du moins, sont en synchronicité. Nous pouvons imaginer que cette concordance est la conséquence d'une communication inter-cellulaire et probablement une déclinaison, à un niveau élémentaire, de l'horloge interne assurant la cohésion de l'organisme. Et aussi que l'aura, cette atmosphère immatérielle qui semble émaner des êtres, est une manifestation de ce rayonnement biophotonique.

Ainsi, si intuitivement ou sous l'influence des mystiques qui nous l'affirment, nous considérons que non seulement nous appartenons à un monde lumineux mais aussi que nous sommes des êtres de lumière, nous pouvons constater que nous en avons là une certaine démonstration, puisque que celle-ci est omniprésente et omnipotente jusqu'au plus profond de notre être, dans chacune de nos cellules.

9 février 2015

Commencement

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Bulk est un terme générique qui signifie volume. Mais pour les théoriciens des cordes, le bulk représente le multivers dont ils considèrent l'existence dorénavant comme potentiellement envisageable tout du moins par l'intermédiaire du calcul mathématique.

En effet, si parmi ses hypothèses, la théorie M des supercordes offre la possibilité de concevoir que notre univers soit contenu au sein d'une membrane énergétique cosmique, elle rejette celle de son unicité comme une singularité. Dans ce contexte, d'autres univers dits parallèles existeraient, supportés par des membranes similaires à la notre. Elle rejoint ainsi la mécanique quantique et lui fournit aussi par la même occasion le champ des possibles qui lui est nécessaire, celle-ci suggérant que chaque probabilité d'un événement se réalise dans un univers différent. 

Paradoxalement, cette complexification de notre vision universelle nous emmènent vers une simplification théorique, vers l'expression d'un principe fondateur et unique qui régit entièrement l'univers et concrétisé mathématiquement par une équation remarquable d'unification des modèles physiques vers laquelle notre compréhension progressive du cosmos nous fait converger.

Cette nouvelle vision, plus globale, nous amènent à reconsidérer la naissance de notre monde, possiblement, non plus comme un événement grandiose de création mais plutôt comme un phénomène cosmique issu d'un mécanisme inhérent au fonctionnement du bulk. En effet, si nous imaginons que ces membranes universelles entrent en collision occasionnellement, nous pouvons supposer intuitivement que cette rencontre donnerait lieu à un dégagement considérable d'énergie. Bien que le calcul mathématique ne fournisse pas à ce jour de résultat théorique à cette éventualité, la similitude que nous pouvons y voir avec la description du big-bang laisse à penser aux théoriciens qu'une interaction forte entre deux membranes pourrait déclencher la naissance d'un nouvel univers dans des conditions similaires à celle du notre.

Et ainsi, la science, par l'intermédiaire du calcul théorique parvient à la notion d'éternité. En effet, si notre monde lumineux est né d'une émergence d'énergie et de matière, peut-être consécutive à une rencontre entre deux membranes cosmiques, et qu'il est voué à disparaître comme le mouvement, l'accélération de son expansion, semble le démontrer, le bulk, lui, peut apparaître éternel. Seuls les univers évoluant en son sein auraient la possibilité de naître et de mourrir et la création, maintenant celle du bulk, serait non seulement multidimensionnelle mais aussi et surtout multiverselle.

Finalement, nous pourrions penser qu'il n'existe ni commencement ni fin, à condition de se placer sur un autre plan d'existence que celui auquel nous appartenons, un plan supérieur.

La voie spirite
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