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La voie spirite
26 avril 2014

Eau

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L'élément eau est un un élément particulier, il est peut-être le plus important, notamment pour la vie terrestre. L'origine de celle-ci se trouve dans les océans, tout du moins d'après nos théories actuelles. Et même si certaines d'entre-elles avancent que les briques élémentaires de la vie proviennent de l'espace, par l'intermédiaire d'acides aminés contenus dans les comètes, l'eau est toujours considérée comme le vecteur de la vie, tout du moins un des vecteurs de la vie.

Eau et vie apparaissent donc intimement liées, dans une relation universelle.

Dans le monde des particules, l'eau est primordiale à la vie telle que nous la concevons, pour tous les êtres vivants, pour leur naissance et leur développement. En particulier, pour nous humains, le liquide amniotique et notre corps sont principalement constitués d'eau et nous sommes en permanence régénérés par elle.

Mais il semblerait que l'eau joue aussi un rôle dans le domaine énergétique. En effet, de récents travaux scientifiques tendent à démontrer que celle-ci possède une mémoire, elle aurait la propriété de conserver les caractéristiques des molécules avec lesquelles elle a été en contact.

Sur le plan technique, les scientifiques avancent la théorie selon laquelle le domaine de cohérence, cet espace intermoléculaire formé par les boucles de molécules liées entre elles à l'état liquide, renferme des ondes électromagnétiques, seules traces résiduelles possiblement restant dans l'eau après une haute dilution de l'additif aqueux. Il est dorénavant prouvé que ces ondes existent et qu'elles sont capables de transmettre des informations, même complexes puisque des structures d'ADN peuvent être reconstruites à distance grâce à ce processus.

A la manière quantique, l'eau, dans la nature, est ainsi particules et ondes et c'est pourquoi sa relation avec le monde vivant est non seulement universelle mais aussi primordiale.

En généralisant, nous pouvons peut-être esquisser l'hypothèse d'une communication complète entre le minéral et le vivant, par l'intermédiaire d'ondes, révélant ainsi le côté énergétique et ondulatoire de la vie.

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25 avril 2014

Ondes sonores

 

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Selon notre sensibilité, nous pouvons dire intuitivement que, parmi nos cinq sens, la vue est certainement celui qui capte le plus notre attention et notre ego. Notre vue nous permet de déterminer notre vision de la réalité telle que nous la concevons durant notre expérience incarnationnelle. Lorsque nous imaginons des événements passés ou futurs probables, nous les visualisons, notre vue est donc l'instrument principal de notre conceptualisation. Quand nous quittons l'état réveillé pour aller dans le domaine du rêve, nous changeons notre niveau de conscience et pour ce faire, nous fermons nos paupières pour mettre notre ego externe, celui tourné vers les autres, en sommeil.

Par contre, notre ouïe est toujours en éveil pour garder une certaine vigilance par rapport au monde matériel. Mais plus qu'un outil d'alerte, le son est l'outil principal de notre communication voire plus. Par la parole de façon évidente, mais aussi dans la lecture à voix haute, et à voix basse lorsque nous transformons l'image du mot en un "son interne", en pensée. La musique influence nos humeurs en véhiculant celle de son compositeur. Dans les états de conscience modifiée, le son joue un rôle primordial, que ce soit dans l'hypnose par l'intonation ou dans les transes par le rythme. Et que dire des incantations et des prières. Les ondes sonores portent nos pensées et les transmettent mais elles peuvent aussi être le message proprement dit.

Au sein du règne animal aussi. Les animaux communiquent par le son, dans le chant ou de façon structurée par le langage dont l'existence est de plus en plus admise voire mise en évidence chez certaines espèces.

En ce qui concerne le règne végétal, il est désormais prouvé que la musique influence la croissance des plantes, en positif comme en négatif, et à l'inverse, leur développement provoque l'émission d'une onde, la protéodie, qui peut être transformée en un son audible, une mélodie.

Pour ce qui est du règne minéral, la lévitation acoustique existe, de nos jours en laboratoire à petite échelle, mais il est possible voire probable qu'elle ait été utilisée à une plus grande échelle dans le passé pour la construction des édifices mégalithiques entre autres.

Ainsi, le son agit sur tous les règnes, mais aussi de manière inter-règne. Il est possible que les ondes sonores, audibles ou pas, soient un vecteur universel de l'information, une émanation sonore de la pensée. Plus généralement, les ondes, porteuses d'énergie et d'informations, sont peut-être le véhicule de la conscience dans un univers énergétique et informationnel, voire un élément de la conscience elle-même.

22 avril 2014

Château de corail

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Une étude approfondie des vestiges des constructions antiques montrent que ces ruines que nous pouvons trouver tout autour du monde ont beaucoup de points communs, plus ou moins évidents. Dans le cas des pyramides, la similitude dépasse l'aspect général. Toutes les pyramides du monde sont orientées selon la constellation d'Orion. Dans le cadre plus précis des sites archéologiques d'Egypte, mayas et chinois de Xian, pour les cas  les plus connus, trois monuments représentent l'image des trois étoiles du baudrier d'Orion.

Nous pouvons aussi observer des corrélations au niveau des proportions des constructions où nous y trouvons de multiples références au nombre Pi et au nombre d'or. Mais ces merveilles architecturales possèdent une autre caractéristique commune. Non seulement leurs dimensions sont colossales, mais aussi, probablement pour qu'elles perdurent dans le temps, les bâtisseurs ont employé des blocs de pierres extrêmement massifs de plusieurs dizaines de tonnes chacun, soigneusement imbriqués et ajustés les uns aux autres.

La précision de réalisation des monuments et des sculptures associées le cas échéant est telle qu'il paraît de plus en plus difficile, au fil des différentes études détaillées effectuées sur les sites, de penser qu'ils ont été construits avec des moyens dits traditionnels de l'époque. Du reste, des analyses micrométriques laissent apparaître pour la taille, leur ajustement et la gravure des pierres des traces d'outils identiques à nos outils contemporains.

Mais surtout, c'est le transport et la mise en place des blocs eux-mêmes, par rapport à leur poids, qui semblent de plus en plus irréalisables de façon classique. Pour les Mayas, par exemple, il est communément admis qu'ils ne connaissaient pas l'usage de la roue. Il est possible qu'ils n'en avaient pas besoin. 

Un homme seul, Edward Leedskalnin, a construit un édifice mégalithique, le château de corail, constitué de pierres de plusieurs tonnes chacune sans outil moderne. C´est un fait. Il est possible voire probable qu'il a eu recours à l'antigravité générée par des ondes sonores ou magnétiques. Une autre technologie que celle fondée sur la force mécanique, ainsi que nous la connaissons aujourd'hui, beaucoup plus efficace, a peut-être existé et oubliée au cours des siècles.

19 avril 2014

Civilisations

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Les Aztèques et les Mayas nous disent que notre civilisation date du quatrième millénaire avant Jésus Christ. Il semble donc que les vestiges antiques qui subsistent tout autour du monde, en tous cas dans leur grande majorité, appartiennent à la même civilisation, la notre. Ainsi, nous pouvons imaginer que ce que nous considèrons actuellement comme des civilisations anciennes différentes aient été, en fait, simplement des groupes ethniques différents.

Les nombreuses similitudes dans la construction de leurs édifices que nous pouvons constater, au niveau de leur architecture générale comme au niveau de la méthode de leur élaboration propre, voire même leur position géographique relative, semblent suggérer une origine culturelle commune.

De plus, les analyses modernes de plus en plus nombreuses et précises des ossements retrouvés de part le monde montrent une interconnexion de ce que nous pensions être jusqu'à présent différentes ethnies.

Ces groupes se sont probablement formés par migration, à pied mais aussi en bateau, leur talent de navigateurs, de part leur connaissance poussée de l'astronomie, étant certainement bien supérieur à ce que nous imaginons communément.

Les livres anciens sacrés de toutes les cultures et aussi les mystiques nous disent que nous appartenons à la cinquième ou sixième civilisation humaine terrestre, les précédentes ayant disparues à la suite de cataclysmes climatiques ou géologiques. Ce qui est possible, l'astronomie moderne nous apprend que le parcours de la Terre dans l'espace n'est pas un long fleuve tranquille, ses rencontres avec de nombreux éléments tels que météorites ou nuages de poussières stellaires en ont déjà modifié sa physionomie et son climat dans un passé plus proche de nous. Nous avons des preuves de l'inversion des pôles et en connaissons les conséquences notamment par rapport au vent solaire. L'extinction des dinosaures en est une autre. Il est possible que, durant ces périodes de grands changements, la taille de l'homme relativement petite et son intelligence lui aient permis de survivre en petit nombre et, avec le temps, de recréer une civilisation.

Mais, au delà des écrits des livres anciens et des visions des mystiques qui ont forcément une limite dans le temps, nous avons trouvé aujourd'hui des preuves de l'existence de civilisations beaucoup plus anciennes, notamment dans du charbon et dans de la pierre, certainement des roches sédimentaires à l'origine. Des objets tels que bijoux, outils ont été découverts dans des couches géologiques vieilles de plusieurs centaines de millions d'années.

Ainsi, nous pouvons affirmer que nous ne connaîtrons jamais l'origine de l'homme, ni géographique ni dans le temps. Nous pouvons aussi nous interroger sur la véracité de la théorie darwinienne qui, dans ce contexte, voit ses bases changer fondamentalement.

18 avril 2014

Vestiges

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De plus en plus de vestiges de civilisations disparues sont découverts, parfois ensevelis, parfois submergés. Non seulement ils nous démontrent que notre planète a subi de gros changements dans sa physionomie au cours du temps, mais aussi que l'histoire des êtres humains est beaucoup plus ancienne et complexe que ce que les hypothèses établies à partir des éléments mis à jour par les archéologues nous dévoilent. Cela ne veut pas dire que celles-ci sont fausses, tout du moins dans la plupart des cas, mais plutôt largement incomplètes. L'histoire communément admise aujourd'hui des temps dits préhistoriques n'est qu'une extrapolation faite à partir des vestiges que nous avons découverts depuis environ deux siècles, c'est-à-dire, en réalité, très peu de choses.

Conscients de notre évolution technologique et très peu de notre prétention collective, nos scientifiques ont pris comme postulat de base qu'il était impossible qu'une civilisation plus évoluée que la notre ait pu exister un jour sur notre planète.

A l'époque moyenâgeuse du développement de notre civilisation actuelle, au sens péjoratif du terme, il était excusable de penser que la terre était plate, beaucoup moins d'avoir brûlé Giordano Bruno, d'autant plus que cet acte a émané de personnes se réclamant d'une élite intellectuelle et spirituelle. Après avoir longtemps pensé et affirmé de façon dictatoriale que nous étions au centre géographique de l'univers, nous voilà encore pris de l'orgueil d'imaginer que nous sommes au centre du temps des civilisations terriennes.

Il suffit de regarder les premières photographies du télescope spatial Kepler pour se convaincre, non seulement de notre aveuglement, mais aussi que, dans le domaine de l'infiniment petit, nous sommes plus proche du rien que de l'existence, que celle-ci n'a le mérite d'exister que par le collectif.

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3 avril 2014

Présent

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Eckart Tollé nous dit : concentrez-vous sur le moment présent.

Il existe plusieurs manières d'interpréter ce principe. La première, la plus radicale, consiste à affirmer que, malgré notre perception actuelle de notre environnement, le temps n'existe pas de façon intrinsèque, donc pas de passé ni de futur, concepts issus uniquement de notre visualisation de notre réalité. Seul le présent est là et nous sommes dans le présent.

La seconde, beaucoup plus traditionnelle et rationnelle au sens où nous l'entendons, est de rappeler que le passé appartient au passé et que le futur n'existe pas encore. Les regrets voire les remords sont inutiles même si nous pouvons et nous devons en retirer le plus d'expérience possible. Quant aux événements à venir, nous considérons communément que rien n'est déterminé.

Mais il en existe une troisième plus subtile. Contrairement à ce que nous croyons habituellement, nous ne sommes pas plus vivants lorsque nous sommes intellectuellement actifs. Seth, via les transes de Jane Roberts nous dit : "Tandis que vous vous préoccupez de vos entreprises et de votre routine quotidienne, vous demeurez, en dessous de la conscience normale, constamment focalisé sur d’autres réalités.".

C'est le principe de la méditation, du recueillement religieux, de l'isolement monacal, notre élévation de conscience se produit surtout à partir de notre introspection même si notre expérience quotidienne à travers nos contacts avec les autres et la nature nous fournit informations et émotions.

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