La luminothérapie soigne par la lumière nos corps physiques en enclenchant un processus d'auto-régulation voire d'auto-guérison de notre physiologie. Elle stimule notre horloge interne en établissant une communication biophotonique entre l'être vivant et son environnement. Plus, cette communication apaise nos souffrances psychologiques, peut-être parce qu'elle nous rappelle aussi inconsciemment nos origines stellaires ou notre direction, la lumière.

Au fil du temps, les luminothérapeutes ont perfectionné leur art en utilisant, au lieu d'une lumière blanche polychromatique, une lumière monochromatique, jouant sur les longueurs d'ondes des couleurs et ainsi sur la fréquence de la communication biophotonique pour influencer les résultats de leur thérapie, les couleurs dites chaudes dynamisant le flux d'énergie électromagnétique et à l'inverse, les couleurs dites froides le réduisant. La luminothérapie s'est ainsi transformée en chromothérapie.

Les différentes études réalisées en vue d'atteindre une efficacité optimale des soins énergétiques ont conduit les chromothérapeutes à utiliser plus qu'une lumière diffusée et monochromatique, plutôt une lumière cohérente et pulsée. Le mouvement, ici photonique, et plus précisément la simultanéité étant finalement un élément primordial du transfert d'énergie et d'informations.

Parallèlement à ces études, celles consacrées à la biophotonique ont mis en évidence chez les végétaux l'existence de canaux de circulation et de répartition de l'énergie. La mise en commun de ces connaissances avec celles de la chromothérapie ont permis aux énergéticiens de découvrir ou de redécouvrir chez les êtres humains celle de méridiens de communication biophotonique qui ce sont avérés être les méridiens d'acupuncture. La médecine dite énergétique rejoint ainsi une autre médecine, la médecine dite chinoise.

Il existe donc, dans le règne animal comme dans le règne végétal, des circuits immatériels d'échange énergétique. Et ils ne sont pas sans nous rappeler ceux des réseaux telluriques de la Terre, nous fournissant par la même occasion un point commun entre le minéral et l'animal, ou en tout cas, entre le terrien et Gaïa, et ainsi un exemple du caractère holographique de l'univers.